Dans L'Avenir (version digitale) de ce jour. Deux articles faisant suite à deux questions posées au dernier conseil communal par nos conseillers Grégory Vidal et Sergio Taronna sans que cela soit précisé dans l'article.
Plus souvent des policiers au Mur de Huy
Le chemin des Chapelles, mieux connu sous son autre nom, le Mur de Huy, est pris comme raccourci. Comment faire pour l’empêcher?
Le chemin des Chapelles à Huy, c’est le nom de cette petite voirie communale, plus connue sous son autre appellation: le Mur de Huy. Une route qui mène de la rue du Marché jusqu’à la plaine de la Sarte… et qui est en circulation locale. Sauf que bon nombre d’automobilistes l’empruntent pour grimper plus vite jusqu’au quartier de la Sarte. Ce n’est pas la seule rue qui est prise ainsi en raccourci. «C’est la même chose au Thier des Malades», note Jacques Mouton (MR).
Difficile cependant d’y mettre un terme… car le Mur de Huy est ainsi victime de sa notoriété. «Il faudrait deux policiers, un en bas et un en haut, pour contrôler les automobilistes, réagit le bourgmestre Christophe Collignon. La police le fait par période et les automobilistes ont toujours de bonnes excuses.» Alors, comment réagir? Simplement, en fait… «On demande aux policiers d’y retourner.» Un conseil donc, évitez de prendre ce raccourci qui n’en est pas un.
Des panneaux de signalisation antigraffiti
Les nouveaux panneaux de signalisation sont déjà tagués. Sauf qu’ils sont recouverts d’un film antigraffiti…
Depuis quelques semaines déjà, la Ville de Huy fait installer une nouvelle signalétique un peu partout. Des panneaux qui indiquent autant la direction aux automobilistes que les parkings ou encore les attractions touristiques. La raison de ces nouveaux panneaux? Huy qui se veut ville touristique avait besoin d’une meilleure signalisation. Ainsi, désormais, on sait où sont les parkings, les musées, le Mont Mosan ou encore le téléphérique (là, la Ville a anticipé). Sauf qu’à peine certains panneaux étaient-ils installés que certains n’hésitaient pas à les taguer.
Le mot d’ordre? Il faut directement le signaler à l’administration communale. Car ces panneaux sont recouverts d’un film antigraffiti. «Quand on l’a appris, on a tout de suite enlevé le graffiti», note le 1er échevin Joseph George. Mettre les panneaux plus hauts? Ils prennent déjà pas mal de place. Mais «on peut toujours améliorer les choses, les changer». Les tags, en tout cas, seront enlevés dès que le service sera prévenu…